Si la station Saidia n’a pas reçu l’éclat qu’elle mérite, la faute ne revient ni au site, ni aux professionnels de bonne volonté qui ont cru à son succès mais dans sa réalisation précipitée dès
À l’aube des années 2000, le Plan Azur promettait de transformer le littoral marocain en moteur de croissance touristique. On y avait beaucoup cru pour ne pas dire qu’on s’en extasiait quelque part. Eurêka !
L’affaire du pavillon marocain à Walt Disney World est toujours au point mort. Elle est un exemple emblématique des dérives que peuvent connaître des projets promotionnels made in Morocco à fort enjeu culturel et image.