mustapha amal
Enquête sur une convention qui brille davantage sur le papier que sur le terrain. Rehamna, encore une fois, est présentée comme la “future destination prometteuse” du Maroc rural. Mais derrière la mise en scène institutionnelle
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L’annonce, via communiqué de presse, du projet de la « Cité de la Méditerranée » à Tanger est succincte et certainement positive, considération prise du mémorandum d’entente signé à Riyad entre le ministère marocain du
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En marge de la journée d'étude sur le tourisme écologique et de montagne comme levier du développement durable bien réussie à la salle des conférences d'Ifrane samedi 27 septembre dernier, l’observateur de la presse et
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Le Maroc a choisi Ifrane pour envoyer un message fort : l’avenir du secteur passera par l’écotourisme et l’investissement responsable. Pour ce faire, une conférence internationale sur l’écotourisme et l’investissement responsable, a été organisée par
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Un peu d’histoire pour rafraîchir les mémoires… Lancé au tournant des années 2000 comme la clé de voûte de la « Vision 2010/2020 » destinée à hisser le littoral marocain au rang de destination internationale,
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Tel que nous l’annoncions hier lundi 1er septembre (Rabat accueille un sommet inédit sur les infrastructures touristiques intelligentes - premiumtravelnews ), Rabat réunit, les 10–11 septembre 2025 au Four Seasons Rabat at Kasr Al Bahr,
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Depuis 2001, le Maroc a formulé pas moins de trois grandes visions touristiques nationales : Vision 2010, Vision 2020 et la feuille de route 2023–2026. Chacune affichait des ambitions louables : cap clair, objectifs chiffrés,
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En occupant la 28ᵉ place du classement Top 100 Travel and Tourism Leaders 2025 de Forbes Middle East, Imad Barrakad, Directeur Général de la Société Marocaine d’Ingénierie Touristique, se place parmi les leaders les plus
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À l’aube des années 2000, le Plan Azur promettait de transformer le littoral marocain en moteur de croissance touristique. On y avait beaucoup cru pour ne pas dire qu’on s’en extasiait quelque part. Eurêka !
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Ouarzazate végète toujours. Elle accueille moins de 2 % des touristes étrangers du Maroc, une fréquentation essentiellement saisonnière, concentrée autour de quelques circuits classiques (Ouarzazate, Aït Ben Haddou, Zagora) et une offre hôtelière souvent sous-utilisée.
